« Voila un nom qui, d’emblée, cogne fort… Les textes et les refrains sont percutants à la manière d’un coup de poing sur la table. Ce qui donne l’identite au groupe, c’est leur aptitude à passer des riffs de guitares aux ritournelles de l’accordéon de façon naturelle. Difficile donc de classer ce rock muscle et intempestif. Le tout est surprenant et enivre l’auditeur qui verra son pas de danse passer du pogo à la valse en un rien de temps. Rien d’étonnant à cela quand on se penche sur le réalisateur de l’album. Il s’agit de Mazarin qui travaille aussi bien avec No One Is Innocent qu avec Olivia Ruiz ou Lofofora. Et c’est une preuve que Yan Caillasse merite l’estime de ses grands frères. »
Nicolas Claude – Francofans
« La mise en scène et l’énergie des chansons de Yan Caillasse sont tailles comme des actes, entre cour et jardin. Cet album a le sens du fond et de la forme, de la poesie, du folklore et de la foudre. »
Patrick Peiffer – Station Service
« Les votes du middle age se souviendront longtemps du passage de cette formation hors norme. Aussi étonnant que captivant, ce cocktail explosif entre dans la catégorie rock texte ».
Est Eclair
« Avec l’énergie d’une fusée Yan Caillasse a livré une performance à faire pâlir quelques stars préfabriquées. Le nerf vif et le verbe acide, ils trimbalent moult influences dans leur musette. »
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A noter, la participation de Kemar de No one is Innocent sur le titre « Os contre béton » et de Denis Leonhardt du Weepers Circus sur les titres « No vision » et « Mon coeur balance ».